Après l'érection canonique de la paroisse de sainte-Cécile du Bic, les résidents pensent
à la construction d'une chapelle sans nécessairement prendre les moyens pour y arriver.

C'est en décembre 1845, que la question du site fut mise pour de bon sur le tapis et devint le sujet de discussions qui durèrent trois longues années.

D'abord, une terre devenue la propriété de Benjamin Bélanger, a été proposée à l'Archevêque de Québec, Mgr Signay.

Elle était située à trente arpents à l'ouest du village actuel, était considérée comme centre de la paroisse et avait un très belle vue. Elle serait l'endroit idéal pour la construction de église et d'un village. Cette terre a été la propriété de Adélard Michaud, et c'est là que se trouve l'emplacement du Paradis des Singes.

On propose un autre emplacement, offert par Hilarion Desnoyers, situé à 25 arpents à l'ouest de la terre du Seigneur, et qui serait, aujourd'hui, la propriété de Gilles Blais et en bas de