Jean a laissé de nombreux descendants, on en trouve plusieurs, aujourd'hui, dans le bas du fleuve.
D'après: dictionnaires généalogiques de Mgr Tanguay.

D'AUTRES FAMILLES ARRIVENT AU BIC

Après le départ de Jean Gagnon, il se passa environ cinquante ans avant que la pointe du Vieux-Bic soit de nouveau habitée.

Vers 1770, il y avait six colons établis entre la Rivière-Hâtée et Rimouski, un seul était sur le territoire du Bic d'aujourd'hui.

Le 10 mars 1767, Antoine Gagnon obtint une terre de quatre arpents de front sur quarante arpents de profondeur.

Deux ans après, on voit deux de ses frères: Jacques et Pascal Gagnon. Aussi François Chabot et Jean Collin qui avaient aussi chacun la même grandeur de terre.

Ils cultivaient tant bien que mal, et aimaient beaucoup la pêche au saumon. Ils furent dans l'obligation de quitter les lieux en payant une indemnité.

JOSÉ LABRIE

Vers 1770, une famille vivait au Cap-à-l'Orignal, celle de José Labrie, ancêtre des Labrie qui ont demeuré au Bic. Il était le grand-père de Marc Labrie qui a vécu et est décédé au Bic.

José Labrie avait épousé Marie Rosalie Lizot le 5 février 1759 à Québec. Ils avaient neuf enfants en bas âge. Avant de se faire colon au Cap-à-l'Orignal, José demeurait à St-Roch de Québec.

Il a défriché seul, une terre de huit arpents de front sur quarante deux de profondeur, située dans le Vieux-Bic, et, une autre de quatre arpents de front sur quarante-deux de profondeur au Cap-à-l'Orignal où il demeurait.

Il s'était d'abord établi en "squatter" sur les terres qu'il défrichait. Ce n'est qu'en 1783, lorsque les enfants, plus avancés en âge,
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