Mais dans l'évolution de la paroisse et surtout celle du village, l'organisation du service à incendie devenait de plus en plus nécessaire, afin de prévenir les sinistres et les combattre.

C'est ainsi qu'au début de notre siècle, la prévention devient chose courante. Souvent le conseil municipal nomme des inspecteurs afin de vérifier l'état des fournaises et des cheminées.
Rue Sainte-Cécile, avant l'incendie de 1921. Première maison à droite, le tailleur Bellavance, aujourd'hui la banque. À gauche: maison de Jos Langis.

Au printemps, il était courant d'allumer des feux ici et là pour détruire les rébuts. L'inspecteur veillait à ce que ces feux se fassent les jours sans vent, loin des bâtisses et des forêts. Toutes ces précautions n'empêchaient pas une conflagration de détruire six maisons en mai 1921.

Dès lors le conseil municipal décidait de doter le village de certaines infrastructures nécessaires à la protection contre les incendies. Au mois d'août 1921 le commissariat contre les incendies de la province de Québec déléguait au Bic, sur la demande du conseil, un ingénieur afin d'étudier les moyens à prendre

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